Placebo Effect

Je ne pouvais pas passer bien longtemps à côté.

Hier soir je me suis fait le live de Placebo au Rock am Ring, et quand je dis live, ce n’est pas une vidéo d’un live qui date d’il y a trois plombes, c’est un live de chez live, en direct depuis le Rock am Ring, Nürburgring, Allemagne, hier soir, à 20h15, et même que mon homme il était dans le public le salopiaud.

Sur le coup ils ont vraiment assurés nos cocos, rien à voir avec le tour de chauffe qui paraît il n’était pas exceptionnel. Energiques, présents et je m’en foutiste à la fois. Et le Molko dégoulinant dans son petit costard… mhh.

Special needs et Twenty years, magnifique, Running up that hill que je découvre également, Every you Every me et Special K qui déchaînent les foules, et un petit Nancy Boy sur la fin un vrai plaisir !

Bref, vous l’aurez compris : j’aime Placebo. Et j’ai hâte de les voir en concert :p

Un ado solitaire, petit, asocial, amateur de punk et de rock indé, né de l’union d’une bigote écossaise  et d’un banquier américain.
Un fils de banquier toujours, suédois cette fois, grand, très grand et sportif, amical et populaire, autant fan de Iron Maiden et Metallica que de Abba et Depeche Mode.
Plus un gamin gouailleur de la banlieue ouvrière de Manchester en Angleterre, qui écoute The Smith, The Cure et Prince.

Alors que la plupart des groupes de rock sont l’association de gamins ayant grandi dans la même ville, ayant fréquenté la même école et joué aux mêmes jeux au son des mêmes influences musicales, voire de la même famille parfois, Placebo lui, est le fruit de l’union contre nature de trois personnes qui n’auraient jamais dû se rencontrer. [ ... ]